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                lieu : Mussidan (stade des 
                Mauries) 
                terrain : gras 
                spectateurs :800 spectateurs 
                arbitre : Monsieur Mercadet (Poitou Charente) 
                composition_equipe mussidan = Hivert, j. Dupuy(cap), Flahaut - 
                Soumagnac, Pichon - Gimel, N. Dupuy, Florenty - (m) Médeau, 
                (o) Conte - M. Roy, Thouron, Pasquier, Faure - Duboé. Entrés 
                en jeu: Blanc, Carier, Dufourgt, Deveaux, Moze, Raynaud 
                composition_equipe bergerac = Salmi, Dadioui, Barat - Renard, 
                Williams - Moumen, Boulesques, Mouret - (m) Raynaud, (o) Bossard 
                - Marty, Dutamby, Marcillac (cap), Chesnais - Faure. Entrés 
                en jeu: Samarut, Wiss, Gaignon, Saint-Marc, Gorrias, Sort, Galarraga. 
                mitemps : 16-15 
                points_equipe : Mussidan: 1 essai de pénalité (15e), 
                1 transformation et 5 pénalités de Conte (2e, 8e, 
                22e, 57, 63e) 
                points_equipe : Bergerac 4 essais de Dutamby(10e), Salmi(31), 
                Baras (66e), Galarraga (74), 2 transformations et 1 pénalité 
                (26e) de Faure 
                cartonb_equipe mussidan = Deveaux (65e) 
                cartonb_equipe bergerac = Dadioui (17e), Boulesques (23e) 
                cartonj_equipe mussidan = Pichon (51e) 
                cartonj_equipe bergerac = Sort (61e) 
                Visiblement abattus, les Mussidanais ont tout donné 
                pour remporter ce derby des deux vallées. Mais une interception 
                assassine de Galarraga a ruiné les efforts de Dupuy et 
                de ses partenaires. Les Bergeracois, plus athlétiques et 
                bien organisés dans la conquête, inscrivent quatre 
                essais et engrangent le bonus offensif. 
                Le public mussidanais pensait que les siens avaient fait le plus 
                difficile. Avec un coeur énorme, ils réussissent 
                une bonne entame de match. Plus disciplinés, ils inscrivent 
                3 pénalités par Conte et un essai de pénalité, 
                Duboé étant plaqué au moment d'aplatir un 
                ballon opportunément prolongé au pied par Pasquier. 
                Mais le rentrée de Galarraga fait du bien aux noirs. Orientant 
                bien le jeu, il redonne progressivement confiance aux siens. Son 
                jeu au pied prend à défaut la défense mussidanaise 
                et Dutamby pointe en coin. Profitant de leur puissance; les Bergeracois 
                propulsent ensuite Salmi derrière la ligne. Après 
                la pause, ils accentuent leur pressing mais sont sanctionnés 
                sur de multiples fautes au sol. Conte en profite en convertissant 
                deux nouvelles pénalités. Réduits à 
                14 à deux reprises, les Mussidanais font bonne garde en 
                défense jusqu'à un nouveau ballon porté qui 
                trouve Barat à la conclusion. Avides de jeu et menant de 
                deux points, les Mussidana 
                ils tentent de tuer le match, mais sur une de leurs offensives, 
                Galarraga surgit, intercepte et file vers la terre promise. Les 
                Bergeracois, qui mènent pour la première fois du 
                match, sauront conserver cet avantage jusqu'au coup de sifflet 
                final. 
                 
                Réactions 
                Patrick Tourenne (Mussidan): Nous avons beaucoup de regrets. 
                Nous avons fait une grosse entame mais aurions dû enfoncer 
                le clou à 16 à 5. C'est à mon avis cette 
                fin de première période qui nous coûte le 
                match, beaucoup plus que l'interception bergeracoise. 
                Gilles Bouyssou (Bergerac): Je félicite mes joueurs 
                qui ont su réagir avec fierté après le coup 
                de massue de Malemort. L'équipe entière s'est montrée 
                à l'image de l'enthousiasme et de l'envie de Nicolas Wiss, 
                qui fait une rentrée remarquable aujourd'hui 
                 
                Bruno Boucharel 
                 
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